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La canicule met en danger la santé des personnes âgées, des malades et des petits enfants. Mais elle a aussi des répercussions moins connues sur la concentration de sel dans le sang, à l’origine d’un trouble qu’on appelle l’hyponatrémie. Interview du Dr Omar Kherad, spécialiste en médecine interne à l’Hôpital de la Tour, qui connaît depuis deux semaines un pic d’admissions de cas d’hyponatrémie.

Certaines maladies chroniques diminuent les capacités cardio-respiratoires et peuvent compliquer la grossesse. Un suivi régulier, au besoin dans un centre expert, est alors indispensable pour limiter les risques pour le fœtus et la future maman.

Croyances et certitudes sur cette maladie qui touche, en Suisse, 35% de la population adulte.

Prise en charge coordonnée des différents intervenants, éducation thérapeutique et progrès de la technologie sont les atouts pour les affronter.

Des médecins américains démontrent l’intérêt cardiovasculaire qui résulte de la prise en charge de l’apnée du sommeil.

Un diabète mal contrôlé peut, à long terme, avoir des conséquences sur l’organisme, qui risque de souffrir de l’excès de sucre.

Ce vecteur est un laboratoire d’expérimentation d’idées, entre personnalités d’horizons différents (neuroscientifiques, pathologistes, médecins, thérapeutes, infirmiers et infirmières, patients, etc.), susceptible de donner du sens et d’expliquer les bénéfices potentiels ainsi que les convergences des différentes méthodes de soins et courants de pensée qui coexistent.

Selon une très large étude, ces médicaments ne seraient pas efficaces. Révolution en vue?

Température élevée, frissons, fatigue... La fièvre est l’une des réponses immunitaires les plus courantes contre les infections. Pénible mais rarement dangereuse, on la soigne à l’aide de remèdes antipyrétiques. Pourtant, rares sont les données cliniques qui encouragent cette pratique. Alors, doit-on soigner la fièvre ou peut-elle s’avérer utile?

Son influence néfaste sur la santé de nos artères fait d’elle la tueuse numéro une dans le monde, rien de moins. Et pourtant, cette maladie silencieuse peut être détectée, soignée, mais aussi prévenue. Les leviers clés: un dépistage régulier, une prise en charge adaptée et une hygiène de vie optimisée.

Survenant généralement autour de 51 ans, la ménopause est définie par l’absence de règles pendant plus d’un an. Environ 82% des femmes concernées éprouvent au moins un des symptômes propres à cette transition, lesquels incluent des bouffées de chaleur, une sudation nocturne, de la fatigue, des troubles de l’humeur, une sécheresse vaginale ou une prise de poids, à des degrés divers. Il est alors essentiel de discuter de ces troubles avec une ou un gynécologue, car ils peuvent durer plusieurs années et affecter la qualité de vie. «Encore trop de femmes ne consultent pas, alors qu’elles souffrent. Pourtant, des solutions efficaces existent», souligne la Dre Isabelle Streuli, responsable de l’Unité de médecine de la reproduction et d’endocrinologie gynécologique aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).

«ZMapp» est une drogue expérimentale extraite du tabac, qui a été administrée aux deux malades américains