Chiens dépisteurs de maladie
Depuis quelques années, des études scientifiques démontrent l’intérêt à impliquer les animaux en santé humaine. L’odorat extrêmement développé des chiens, par exemple, leur permet de dépister certaines maladies. S’il est difficile d’expliquer comment les animaux sentent une crise arriver chez leur maître, il s’avère possible de les entraîner à reconnaître la signature olfactive d’une maladie. Une aide porteuse d’espoir qui pourrait bien contribuer à sauver la vie de nombreuses personnes dans le monde.
Nous verrons aussi comment la seule présence des animaux peut contribuer à améliorer l’état de certains malades. Inspirées par cette thématique, quatre jeunes filles de 12 ans se sont distinguées lors d’un très sérieux concours proposé par le CHUV et l’association Graines d’Entrepreneurs. Ce concours concerne le futur hôpital de pédiatrie du CHUV où aboutira le projet «Therapy pets» sous une forme qui n’est pas encore précisée.
Une émission 36.9 - RTS La Première
LA NEUROPROTECTION AU SECOURS DE LA RÉTINE
Face à certaines maladies rétiniennes, la neuroprotection peut aider à ralentir la dégénérescence de cellules essentielles à la vision, comme les photorécepteurs. Cette approche prometteuse est au cœur des travaux du groupe de recherche «Visual and retinal neuroprotection laboratory» de l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin, mené par Naïg Chenais, docteure en neurosciences.
«La thérapie cellulaire traite de plus en plus de maladies»
Vers une détection plus précoce du diabète de type 1
en plus tôt, ouvrant ainsi la voie à une prise en charge plus efficace de la maladie.
