Des fourmis infirmières inspirent la recherche sur les antibiotiques
Mais en plus dʹêtre une vraie guerrière, cʹest aussi une formidable infirmière. Quand une fourmi est blessée, ses congénères sont capables de détecter et de traiter les plaies infectées. En appliquant sur les blessures divers composés antimicrobiens et protéiniques sécrétés par leur glande métapleurale, les ouvrières réduisent la mortalité de leurs consœurs de 90%.
Une étude menée par lʹUniversité de Lausanne (UNIL), publiée dans Nature communications (29.12.23), sʹest intéressée à cette espèce fascinante de fourmi pour tenter de comprendre leur processus de soin des plaies.
Sarah Dirren en parle avec Laurent Keller, ancien professeur au Département dʹécologie et évolution de lʹUniversité de Lausanne (UNIL). Il a dirigé cette étude réalisée par son étudiant Erik Frank.
Une émission CQFD - RTS La Première
LA NEUROPROTECTION AU SECOURS DE LA RÉTINE
Face à certaines maladies rétiniennes, la neuroprotection peut aider à ralentir la dégénérescence de cellules essentielles à la vision, comme les photorécepteurs. Cette approche prometteuse est au cœur des travaux du groupe de recherche «Visual and retinal neuroprotection laboratory» de l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin, mené par Naïg Chenais, docteure en neurosciences.
«La thérapie cellulaire traite de plus en plus de maladies»
Vers une détection plus précoce du diabète de type 1
en plus tôt, ouvrant ainsi la voie à une prise en charge plus efficace de la maladie.

