Une IA pour aider à diminuer le nombre de morts après une morsure de serpent
LʹOrganisation mondiale de la santé (OMS) a pour objectif de réduire de moitié ce chiffre dʹici à 2030. Et cʹest peut-être à lʹaide dʹune application qui identifie les serpents du monde entier et leur anti-venin que cet objectif pourrait être atteint.
Pour lʹinstant, plus dʹun demi-million de photographies de serpents ont été intégrées dans lʹalgorithme dʹintelligence artificielle de cette appli développée par les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève (UNIGE) et Médecins sans Frontières (MSF). Les équipes du projet continuent leur effort collectif pour combler le manque de données sur l'écologie des serpents et donner aux prestataires de soins de santé des connaissances actualisées et l'accès à de meilleurs outils de diagnostic.
Avec Isabelle Bolon, chercheuse et vétérinaire à lʹInstitut de santé globale de lʹUniversité de Genève, et Gabriel Alcoba, médecin référent maladies tropicales négligées à MSF, médecin au Service de médecine tropicale et humanitaire aux HUG et co-investigateur à lʹUNIGE. Un sujet de Sarah Dirren.
Une émission CQFD - RTS La Première
LA NEUROPROTECTION AU SECOURS DE LA RÉTINE
Face à certaines maladies rétiniennes, la neuroprotection peut aider à ralentir la dégénérescence de cellules essentielles à la vision, comme les photorécepteurs. Cette approche prometteuse est au cœur des travaux du groupe de recherche «Visual and retinal neuroprotection laboratory» de l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin, mené par Naïg Chenais, docteure en neurosciences.
«La thérapie cellulaire traite de plus en plus de maladies»
Vers une détection plus précoce du diabète de type 1
en plus tôt, ouvrant ainsi la voie à une prise en charge plus efficace de la maladie.

