Zoom sur les mécanismes neurologiques de la motivation
Dernière mise à jour 08/01/20 | Audio
Loading the player ...
© iStock/PeopleImages
Huma Khamis décortique les mécanismes de la motivation.
Si elle semble souvent liée à une simple question de volonté, au niveau du cerveau c'est bien plus compliqué.
Les explications du psychiatre Fabien Vinckier, chercheur à lʹInstitut du cerveau et de la moëlle épinière à l'Université de Paris.
Le dossier sur le cerveau de RTS Découverte
Une émission CQFD - RTS La Première
Articles sur le meme sujet
Des symptômes mystérieux et invalidants
Largement méconnus, les troubles neurologiques fonctionnels ont un impact majeur sur la qualité de vie des personnes qui en souffrent. Dépendants de facteurs biologiques, psychologiques et sociaux, ils ne sont pas encore complètement élucidés et nécessitent une prise en charge globale.
«Le langage peut être utilisé pour tester la mémoire et ses failles»
La Pre Nina Kazanina, spécialiste des neurosciences du langage, a rejoint l’Université de Genève (UNIGE) et, plus précisément, le Département des neurosciences fondamentales, en 2023. Récemment nommée codirectrice du Pôle de recherche national (PRN) Evolving Language*, elle travaille sur les liens complexes entre cerveau et langage. Des travaux de recherche qui pourraient à l’avenir avoir des impacts concrets, notamment dans le cadre de la prise en charge des troubles du langage ou de la mémoire.
Il n’y a pas d’âge pour «muscler» son cerveau
Entraîner ses neurones, jour après jour, dès l’enfance, est le meilleur moyen de préserver ses facultés cognitives au fil du temps.
Videos sur le meme sujet
Quand le cannabis empêche les jeunes de dormir
Fumer du cannabis pour faciliter lʹendormissement serait une mauvaise idée.
Cerveau et musique: qui influence qui?
Ce nouvel épisode de Micro sciences examine la fascinante relation entre la musique et le cerveau humain.
Micro sciences: Où est mon deuxième cerveau?
Notre ventre abrite des milliards de bactéries qui influencent notre humeur et notre comportement, au point qu’on pourrait le voir comme notre “deuxième cerveau”.

