Une alternative à la coloscopie
Dernière mise à jour 07/12/15 | Audio

Loading the player ...
Le virtuel s’invite dans le dépistage du cancer du côlon, le 3e cancer le plus fréquent en Suisse.
A la coloscopie "classique" s'ajoute désormais un scanner du côlon réalisé par un radiologue. Quelle technique choisir? L’une est-elle plus efficace que l’autre ? Pourquoi le dépistage est si important ?
Les explications et les réponses de Jean-Louis Frossard, chef de service de la gastro-entérologie et hépatologie des Hôpitaux universitaires de Genève, et Christophe Campolini, médecin radiologue à l’Institut d’imagerie médicale Affifea de Fribourg. Un dossier de Stéphane Délétroz.
Une émission CQFD - RTS La Première
A LIRE AUSSI
Amputation
Reconstruction de la vessie
Certaines affections de la vessie, telles un cancer, une perte de la fonction de vidange ou de recueil des urines, peuvent nécessiter son ablation. Il...
Lire la suite
Articles sur le meme sujet

Un nouveau programme cantonal contre le cancer colorectal
Directrice de la Fondation genevoise pour le dépistage du cancer (FGDC), la Dre Béatrice Arzel mène désormais un combat féroce contre ce «crabe» qui touche 4’000 nouveaux patients chaque année en Suisse. Son objectif? Faire chuter la mortalité liée à cette tumeur.
Videos sur le meme sujet
Lʹendoscopie, comment ça marche?
Il est conseillé, à l'âge de cinquante ans, de faire une coloscopie, une endoscopie dans le gros intestin, pour prévenir les cancers colorectaux.
Cancer du côlon: qu'attend-on pour dépister?
4200 nouveaux cas par an, 1600 décès: en Suisse, le cancer du côlon rectum est l'un des trois cancers les plus fréquents
Cancer du côlon: dépister c'est soigner
Le cancer du colon est l'un des cancer les plus fréquents. Il est mortel pour 1600 personnes par année en Suisse. Ce cancer peut être pris en charge tôt afin d'améliorer les chance de traitement. Comment faire? L'antidote nous aide à en savoir plus.
Maladies sur le meme sujet

Cancer de l’anus (carcinome anal)
Chaque année en Suisse, près de 170 personnes développent un cancer de l’anus, ce qui correspond à moins de 1% de toutes les maladies cancéreuses.